Comme ça
Eddy de Pretto
Paroles:
J'ai toujours pensé que fuir
Serait la plus belle des sorties
Je n’ai pas su te le dire
Maintenant, j'ai le couteau dans le dos
Si tu savais comment faire
Pour que je puisse m'en sortir
Tu ne m’aurais pas fait taire
Le jour ou j'allais tout te dire
Laisse-moi histoire de plaire
De toi, faut te faire mine
Puis je rattrape le tire
Et je t'érige au plus haut
De mon mur de conquêtes
Où je rassemble tes cris
Que tu m'épelles qu'à t'faire en l'air
Puis qui couleront sur ma peau
Oooooh, comme ça
Je t'idéalisais, je te consommais puis je t’ignorerai
Oooooh, comme ça
Je t’idéalisais, je te consommais puis je t'ignorerai
À mes yeux tout était vu
Tu me voyais comme presque tout
J’ai bien trop su salir le beau
Que tu mettais dans nos nous
Pourtant ce n'était que du cul
On le sait trop pendant nos yeux
Ça sent le plu et le dégoût
Qui se mélangent à petits feux
Tu ne me fais plus trop d'effet
À trop vouloir goûter au trop
Je ne m'y suis pas reconnu
Car je suis toujours en plein galop
Oooooh, comme ça
Je t’idéalisais, je te consommais puis je t'ignorerai
Oooooh, comme ça
Je t'idéalisais, je te consommais puis je t'ignorerai
J'étais venu aux aurores
Comme les matins au ciel chaud charnel
Je t'ai vu, alors alors
Avec un bout et doux pactole pastel
Je voulais juste te jouer de toi
Juste comme on fait si bas
Un peu comme ci, un peu comme ça
Comme dans mes grands films, stars de cinéma
Puis j'ai finit sur le bord, avec la peau de mon genou qui craquait
Je ne pensais pas toucher le sol
Aussi violemment que ma peine
Toi, tu as bien pu jouir en moi
Moi je n'ai jamais joui de toi
Un peu comme ci, un peu comme ça
J'ai même pas pu faire mon cinéma
Oooooh, comme ça
Tu m'idéalisais, tu me consommais puis tu m'ignoreras
Serait la plus belle des sorties
Je n’ai pas su te le dire
Maintenant, j'ai le couteau dans le dos
Si tu savais comment faire
Pour que je puisse m'en sortir
Tu ne m’aurais pas fait taire
Le jour ou j'allais tout te dire
Laisse-moi histoire de plaire
De toi, faut te faire mine
Puis je rattrape le tire
Et je t'érige au plus haut
De mon mur de conquêtes
Où je rassemble tes cris
Que tu m'épelles qu'à t'faire en l'air
Puis qui couleront sur ma peau
Oooooh, comme ça
Je t'idéalisais, je te consommais puis je t’ignorerai
Oooooh, comme ça
Je t’idéalisais, je te consommais puis je t'ignorerai
À mes yeux tout était vu
Tu me voyais comme presque tout
J’ai bien trop su salir le beau
Que tu mettais dans nos nous
Pourtant ce n'était que du cul
On le sait trop pendant nos yeux
Ça sent le plu et le dégoût
Qui se mélangent à petits feux
Tu ne me fais plus trop d'effet
À trop vouloir goûter au trop
Je ne m'y suis pas reconnu
Car je suis toujours en plein galop
Oooooh, comme ça
Je t’idéalisais, je te consommais puis je t'ignorerai
Oooooh, comme ça
Je t'idéalisais, je te consommais puis je t'ignorerai
J'étais venu aux aurores
Comme les matins au ciel chaud charnel
Je t'ai vu, alors alors
Avec un bout et doux pactole pastel
Je voulais juste te jouer de toi
Juste comme on fait si bas
Un peu comme ci, un peu comme ça
Comme dans mes grands films, stars de cinéma
Puis j'ai finit sur le bord, avec la peau de mon genou qui craquait
Je ne pensais pas toucher le sol
Aussi violemment que ma peine
Toi, tu as bien pu jouir en moi
Moi je n'ai jamais joui de toi
Un peu comme ci, un peu comme ça
J'ai même pas pu faire mon cinéma
Oooooh, comme ça
Tu m'idéalisais, tu me consommais puis tu m'ignoreras